Articolo 565
…fuori da tutto…
La grotta di ghiaccio dell’Ochsentaler-Gletscher
…meravigliosa è l’avventura : la casa è dietro di te, il mondo è davanti…
Molto prima di raggiungere il Rifugio Wiesbadener ho notato due macchie scure sotto il Ghiacciaio Ochsentaler e, inquadrando il luogo con il teleobiettivo della macchina fotografica, ho capito che si trattava di due grotte. Osservando ancor più da vicino, ho notato con grande stupore che lo strato superficiale era costituito da detriti rocciosi mentre sotto c’era uno spesso strato ghiacciato. Quale magnificenza… erano delle grotte di ghiaccio !! La cosa mi ha lasciato talmente stupito che non sono più riuscito a distogliere lo sguardo ed i pensieri da quel luogo. Il cuore palpitava a mille, l’animo sembrava un vulcano in eruzione. Che cosa stava accadendo ? Giunti al rifugio, l’attrazione di raggiungere quella grotta si è fatta dirompente fino a che ho detto a Paola : “Devo andare lì, assolutamente !!”. Titubante perché non conoscevo il percorso, ho ascoltato l’istinto e sono partito di corsa. Dopo essere giunto nel fondovalle, ho attraversato un torrente, risalendo poi un pendio scosceso fino a raggiungere un pianoro. L’Ochsentaler era lì davanti a me nella sua paurosa spettacolarità, ma le grotte dov’erano ? Dopo aver guadato due torrenti impetuosi, eccole lì, immense, terribili, affascinanti, leggendarie… Un brivido fulmineo ed un’emozione incontenibile hanno attraversato il corpo dalla testa ai piedi : era l’entrata dell’inferno o del paradiso ? La ragione ha iniziato a lottare con l’incoscienza, sconvolta da due pensieri opposti come il giorno e la notte… Quello luminoso mi diceva : “se non entri, ti perdi qualcosa di unico… cogli l’attimo !!” ; quello oscuro, martellando la coscienza, mi diceva : “se entri, metti in pericolo la tua vita; pensa a chi ti ama !!” Inutile dirlo… ha vinto il “Carpe diem”… Ho osato, impaurito come un bambino e al contempo impavido come un guerriero davanti al pericolo. Ho osato, ma non per vanto o incoscienza, ma perché ero certo che ne sarei uscito orgoglioso di raccontare una storia rara, un’avventura folle, un istante di eternità, un’esperienza altamente spirituale… e ne faccio dono a tutti, con tanta gioia nel cuore…
Quando la natura ci dona una tale ricchezza spirituale, quella materiale non è che un puntino al centro dell’infinito…
Article 565
…hors du temps… hors du tout…
La grotte de glace de l’Ochsentaler-Gletscher
…merveilleuse est l’aventure : la maison est derrière toi, le monde est devant…
Bien avant d’atteindre le Refuge Wiesbadener, j’ai remarqué deux taches sombres sous le Glacier Ochsentaler et, dans le situer l’endroit avec le téléobjectif de l’appareil photo, j’ai réalisé qu’il s’agissait de deux grottes. En regardant de plus près, j’ai remarqué avec une grande stupéfaction que la couche de surface était constituée de débris rocheux alors qu’en dessous il y avait une épaisse couche glacée. Quelle magnificence… c’étaient des grottes de glace !! La chose m’a laissé tellement stupéfait que je n’étais plus capable de détourner les yeux et les pensées de cet endroit. Le cœur battait à mille, l’âme ressemblait à un volcan en éruption. Que se passait-il? Lorsque nous avons atteint le refuge, l’attrait d’atteindre cette grotte est devenu perturbant jusqu’à ce que jai dit à Paola : “Je dois absolument y aller !!”. Hésitant car je ne connaissais pas le parcours, j’ai écouté mon instinct et me suis mis à courir. Après avoir atteint le fond de la vallée, j’ai traversé un ruisseau, puis gravi une pente raide jusqu’à un plateau. L’Ochsentaler était là devant moi dans sa spectacularité effrayant, mais où étaient les grottes ? Après avoir traversé à gué deux torrents déchaînés, les voilà, immenses, terribles, fascinants, légendaires… Un frisson fulgurant et une émotion irrépressible m’ont traversé le corps de la tête aux pieds : était-ce l’entrée de l’enfer ou du paradis ? La raison a commencé à se débattre avec l’inconscience , submergée par deux pensées opposées comme le jour et la nuit… La lumineuse m’a dit : “si tu n’entres pas, tu rate quelque chose d’unique… saisis l’instant !!” ; la sombre, martelant la conscience, m’a dit : « si tu entres, tu mets ta vie en danger ; pense à qui t’aime !!” Inutile de le dire… il a gagné le « Carpe diem »… J’ai osé, effrayé comme un enfant et en même temps intrépide comme un guerrier face au danger. J’ai osé, mais pas par fierté ou par insouciance, mais parce que j’étais sûr que j’en ressortirais fier de raconter une histoire rare, une folle aventure, un moment d’éternité, une expérience hautement spirituelle… et je la donne à tout le monde , avec tant de joie au coeur…
Quand la nature nous offre une telle richesse spirituelle, la richesse matèrielle n’est qu’un point au centre de l’infini…
La linea continua rossa indica il percorso come nell’articolo precedente. La linea rossa tratteggiata indica il percorso fatto in solitaria per raggiungere le grotte di ghiaccio dell’Ochsentaler Gletscher.
La ligne rouge continue indique le chemin comme dans l’article précédent. La ligne pointillée rouge indique le chemin emprunté en solitaire pour atteindre les grottes de glace de l’Ochsentaler Gletscher.
Il percorso in solitaria nel dettaglio. La “A” indica l’Austria, il “CH” indica la Svizzera.
Le parcours en solitaire dans le détail. Le “A” indique l’Autriche, le “CH” indique la Suisse.
…un cuore di licheni su una roccia… piccolo segno d’amore della natura…
…un coeur de lichens sur un rocher… petit signe d’amour de la nature…
…tutto inizia dalla spettacolare vista del Ghiacciaio Ochsentaler prima di arrivare al Rifugio Wiesbadener…
…tout commence par la vue spectaculaire sur le Glacier Ochsentaler avant d’y arriver au Refuge Wiesbadener…
Cosa sono quelle macchie scure sotto il ghiacciaio ?
Quelles sont ces taches sombres sous le glacier ?
Con ll teleobiettivo della macchina fotografica mi avvicino per capire… e mi addentro in una veduta straordinaria : mi sembra di toccare il ghiaccio millenario.
Avec le téléobjectif de l’appareil photo je m’approche pour comprendre… et j’entre dans une vue extraordinaire : il me semble de toucher la glace millénaire.


…sempre più vicino, nella meravigliosa solitudine bianca della natura più selvaggia e primordiale…
… toujours plus près, dans la merveilleuse solitude blanche de la nature la plus sauvage et la plus primordiale …




…ghiaccio e cascate… cascate e roccia… grandiosità e silenzio… non so cosa pagherei per essere lì !!
… glace et cascades … cascades et rochers … grandeur et silence … je ne sais pas ce que je paierais pour être là !!
Ma ecco che, abbassando lo sguardo, riesco ad intravvedere una macchia scura : sembra un vuoto sotto un ghiaione; una cosa strana, molto intrigante.
Mais, en regardant en bas, j’aperçois une tache sombre : on dirait un vide sous une moraine ; une chose étrange, très intrigante.
Sopra il torrente, ora osservo due macchie, sembrano grotte…
Au dessus du ruisseau, j’observe maintenant deux taches, elles ressemblent à des grottes…
No, non ci posso credere : sotto lo strato di detriti c’è del ghiaccio. Ma si, è veramente ghiaccio… non ci posso credere !!
Non, je ne peux pas y croire : il y a de la glace sous la couche de débris. Mais oui, c’est vraiment de la glace… je n’arrive pas à y croire !!
Ecco le due grotte di ghiaccio che m’invitano ad andare lì, ma come faccio ? E’ troppo lontano; è troppo pericoloso; sono con gli amici, dobbiamo restare assieme; ma è troppo bello, troppo intrigante, terribilmente attraente…
Voilà les deux grottes de glace qui m’invitent à y aller, mais comment faire ? C’est trop loin; c’est trop dangereux ; je suis avec les amis, nous devons rester ensemble ; mais c’est trop beau, trop intrigant, terriblement attirant…
Dopo aver mangiato un panino presso il rifugio, con lo stomaco in eruzione come un vulcano, con il desiderio di partire, esito, poi decido, poi esito ancora, finchè dico a Paola : “Devo andare lì, assolutamente”. E senza dire parola alcuna, mi lascia andare… perchè sa di non riuscire a fermarmi…
Après avoir mangé un sandwich au refuge, avec le ventre en éruption comme un volcan, avec l’envie de partir, j’hésite, puis je décide, puis j’hésite encore, jusqu’à ce que je dise à Paola : “Je dois y aller, absolument” . Et sans dire un mot, elle me laisse partir… car il sait qu’il ne pourra pas m’arrêter…
Giunto nel fondovalle, guardo dietro di me ed il rifugio non si vede più. Allora guardo il cielo : sono solo, ho paura, non conosco la strada, sono incosciente, sono egoista, ma vado lo stesso… una forza mi spinge…
Une fois dans le fond de la vallée, je regarde derrière moi et le refuge n’est plus visible. Alors je regarde le ciel : je suis seul, j’ai peur, je ne connais pas le chemin, je suis inconscient, je suis égoïste, mais j’y vais quand même… une force me pousse…
Una passerella mi lascia attraversare il torrente che scende dal Ghiacciaio Vermuntgletscher e mi dirigo verso l’Ochsentaler salendo un ripido pendio. Mi sono allontanato dal rifugio e dall’idea di ritornare indietro. La paura si dissolve…
Une passerelle me permet de traverser le ruisseau qui descend du glacier Vermuntgletscher et je me dirige vers l’Ochsentaler en gravissant une pente raide. Je me suis éloigné du refuge et de l’idée d’y retourner. La peur se dissout…
Ancora non vedo le grotte, ma il mio pensiero è guadare questi due torrenti piuttosto impetuosi, rischiando di finirci dentro… Ma nulla ormai mi può fermare !!
Je ne vois pas encore les grottes, mais ma pensée est de guéer ces deux ruisseaux assez impétueux, au risque de finir dedans… Mais rien ne peut m’arrêter maintenant !!


Dopo aver affrontato un altro pendio roccioso, il cuore sussulta… non ho parole, non ho più forze, sono paralizzato dall’emozione, dall’essere l’unico essere umano in quel luogo ed in quel momento… Descrivere un tale sentimento è impossibile…
Après avoir affronté une autre pente rocheuse, mon cœur bondit… je n’ai plus de mots, je n’ai plus de force, je suis paralysé par l’émotion, en étant le seul être humain à cet endroit et à cet instant… Décrire un tel sentiment n’est pas possible…
Guardo la grotta che mi aspetta, poi guardo dalla parte opposta, verso il rifugio, dove qualcuno mi aspetta anche lì… la testa è vuota, il cuore è colmo… Non avrei mai pensato che certi luoghi scatenassero un così violento terremoto spirituale. Ma sono qui, solo con lei, la natura … vuoto di me, pieno delle sue meravigliose attenzioni.
Je regarde la grotte qui m’attend, puis je regarde du côté opposé, vers le refuge, où quelqu’un m’attend là aussi… la tête est vide, le cœur est plein… Je n’ai jamais pensé que certains endroits déclencheraient un tremblement de terre spirituel si violent. Mais je suis là, seul avec elle, la nature… vide de moi, pleine de ses merveilleuses attentions.
Mi avvicino in punta di piedi. In questa “entrata” spazio-tempo non so se vado verso l’inferno o verso il paradiso. Ma l’inferno ed il paradiso sono probabilmente invenzioni umane, e qui di umano non c’è nulla, a parte un essere (me stesso) talmente piccolo, talmente insignificante da non spaventare assolutamente la grandiosità della natura.
Je m’approche sur la pointe des pieds. Dans cette « entrée » espace-temps je ne sais pas si je vais vers l’enfer ou le paradis. Mais l’enfer et le paradis sont, probablement, des inventions humaines, et il n’y a rien d’humain ici, a part un être (moi-même) si petit, si insignifiant qu’il n’effraie pas du tout la grandeur de la nature.
Penso : “se la natura mi accetta, nulla può accadere; se non mi accetta, si farà capire”. Prima di entrare nella grotta, osservo le sfumature del ghiaccio, le sue forme, la sua bellezza…
Je pense : « si la nature m’accepte, rien ne peut arriver ; si elle ne m’accepte pas, elle se fera comprendre ». Avant d’entrer dans la grotte, j’observe les nuances de la glace, ses formes, sa beauté…






…poi sogno con gli occhi aperti… – … puis je rêve avec les yeux ouverts…
…non so se qui dimorano gli angeli; sicuramente non dimorano i demoni, perchè la paura se n’è andata e sto bene con me stesso, fin troppo bene…
… je ne sais pas si des anges vivent ici ; il n’y a sûrement pas de démons, car la peur est partie et je me porte bien, trop bien …
p.s. Non inquietatevi di quella luce in fondo… al tunnel : è una goccia d’acqua nel vetro dell’obiettivo… niente cose strane qui, solo pura bellezza !!
p.s. Ne vous inquiétez pas pour cette lumière au bout… du tunnel : c’est une goutte d’eau dans le verre de l’objectif… pas de trucs bizarres ici, juste de la pure beauté !!
Mi sento amorevolmente avvolto dalla natura che mi sussurra il suo “benvenuto” attraverso il vento che oltrepassa la grotta e attraverso il canto incessante delle cascate.
Je me sens amoureusement enveloppée par la nature qui me murmure son “bienvenue” à travers le vent qui passe dans la grotte et à travers le chant incessant des cascades.
Esco dall’altra parte della grotta e non sono più sotto la volta azzurra del ghiaccio ma sotto la volta azzurra del cielo.
Je sors de l’autre côté de la grotte et je ne suis plus sous la voûte bleue de la glace mais sous la voûte bleue du ciel.
La prima grotta è sempre più lontana e vedo la seconda, molto più in alto. E’ difficile la percezione dello spazio, non so quante decine o centinaia di metri ho percorso finora…
La première grotte est de plus en plus éloignée et je vois la deuxième, beaucoup plus en haut. La perception de l’espace est difficile, je ne sais pas combien de dizaines ou centaines de mètres j’ai parcouru jusqu’à présent…
Purtroppo cade molta acqua ma anche grosse pietre e devo stare contro la parete di ghiaccio che mi fa scoprire una piccola grotta. La trasparenza è incredibile : mi chiedo quanti millenni può avere il ghiaccio e quale aria pura contengono le bolle imprigionate.
Malheureusement beaucoup d’eau tombe mais aussi de grosses pierres et je dois me tenir contre le mur de glace ce qui me fait découvrir une petite grotte. La transparence est incroyable : je me demande combien de millénaires peut avoir la glace et quel air pur contiennent les bulles piégées.
Sono quasi giunto all’uscita della seconda grotta.
J’ai presque atteint la sortie de la deuxième grotte.
Al di là della grotta, uno spettacolo terribilmente meraviglioso si presenta davanti ai miei occhi : l’Ochsentaler è lì, con i suoi seracchi minacciosi, le pareti rocciose, le cascate che scendono dappertutto…
Au-delà de la grotte, un spectacle terriblement merveilleux s’offre à mes yeux : l’Ochsentaler est là, avec ses séracs menaçants, ses parois rocheuses, ses cascades qui descendent partout…
Tento di scendere al di fuori delle grotte per evitare il pericolo, ma uno strapiombo mi impedisce la discesa; devo obbligatoriamente rifare lo stesso percorso dell’andata.
J’essaye de descendre hors des grottes pour éviter le danger, mais un surplomb m’empêche de descendre ; je dois forcément refaire le même parcours de l’allée.
Piano piano oltrepasso la seconda grotta… – Lentement je passe la deuxième grotte…
…ed anche la prima è stata raggiunta… – … et même le premier a été atteint …
Esco… e ritorno nel mondo reale… più ricco dentro, più sereno, felice di avere affrontato una paura, quindi un limite…
Je sors… et je retourne dans le monde réel… plus riche intérieurement, plus sereine, heureuse d’avoir affronté une peur, donc une limite…
Prima di andarmene, mi giro verso la grotta, come fosse un’amica che mi ha fatto vivere una fiaba, e ringrazio… Non so se potremmo rivederci; non so se salirò ancora in questi luoghi, se ci sarò; non so se questa grotta esisterà ancora in un prossimo futuro o se sarà destinata a scomparire. Tutto passa, nulla resta. Ma una cosa è importante, essenziale : non muore chi resta nel cuore di chi vive… E’ stato bello, meraviglioso, leggendario… grazie… ti ricorderò sicuramente…
Avant de partir, je me tourne vers la grotte, comme si c’était une amie qui me faisait vivre un conte de fées, et je remercie. Je ne sais pas si nous pourrons nous revoir; je ne sais pas si je remonterai dans ces endroits, si j’y serai ; je ne sais pas si cette grotte existera encore dans un futur proche ou si elle sera vouée à disparaître. Tout passe, rien ne reste. Mais une chose est importante, essentielle : ceux qui restent dans le cœur de ceux qui vivent ne meurent pas… C’était beau, merveilleux, légendaire… merci… Je me souviendrai sûrement de toi…
Quando vivo certe esperienze mi accorgo di quanto sia inutile l’avere ed il possedere… E’ esaltante dimenticare la ricchezza materiale quando mi disseto ad una sorgente, quando raccolgo ed osservo una pietra, quando accarezzo un filo d’erba o bacio un fiore… E’ esaltante spogliarsi delle cose del mondo materiale per vestirsi delle cose del mondo spirituale…
Quand je vis certaines expériences je me rends compte à quel point il est inutile l’avoir et le posséder… C’est grisant d’oublier les richesses matérielles quand je me désaltère à une source, quand je ramasse et j’observe une pierre, quand je caresse un fil d’herbe ou j’embrasse une fleur… Il est grisant de se dépouiller des choses du monde matériel pour se vêtir des choses du monde spirituel…


A volte ho anche l’impressione di quanto noi esseri umani parliamo, parliamo e parliamo… Se parliamo in continuazione, come possiamo ascoltare tutto quello che la Natura ha da dirci ?
Parfois j’ai même l’impression de combien nous, les humains, parlons, parlons et parlons… Si nous parlons tout le temps, comment pouvons-nous écouter tout ce que la Nature a à nous dire ?
Magique, féérique, Dame Nature est une merveille… le reste est superflu !
Merci de ce merveilleux partage… les photos sont à couper le souffle !
Bonne journée, bizzz
Des photos à couper le souffle.
Les couleurs de la glace sont magnifiques.
Merci pour le partage.
Sylvie
Beaucoup de prise de danger , Paola a du avoir peur , elle aussi . Tout ‘c’ est bien terminé et les yeux remplis de telles beautés de s’oublient pas Vous seul en avait le secret
Merci de ce voyage
Amicalement
Toujours aussi intrépide Renato !!!
En lisant ton reportage, j’ai eu les frissons…
Jamais on ne pourra t’arrêter toi qui grimpe dans la montagne, tel un chamois… je t’ai vu à l’œuvre !
Bises
Merci pour le partage de cette expérience et de ces endroits merveilleux que tes photos nous permettent de voir.
Hai ragione……parliamo troppo e ascoltiamo poco…..specie la natura…grazie di averci portato in questo mondo fantastico …la tua descrizione è una fiaba che ci permette di vedere con i tuoi occhi la maestosità di quanto la natura ci offre e , purtroppo,non ci accorgiamo…..anche per me che ero a pochi km……